Symphonia of Eternal Asgard
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 Les annales d'Asgard

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Kendall Aegnor
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Kendall Aegnor


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MessageSujet: Les annales d'Asgard   Les annales d'Asgard EmptyVen 12 Sep - 23:25

Les annales d'Asgard Annale10




Asgard, la cité des Dieux, tel était le nom de cette ville, découverte dans un lointain royaume, et qui flottait au dessus d'une ville, où croulaient les assassins et les voleurs. Qui aurait cru qu'un jour, une telle forteresse volante puisse être atteinte par des êtres rabaissés par tous. Une bande de révoltés qui eu tout de même la force de lever une armée digne de rivaliser avec celle du Roi. A leur tête se dressait un homme plutôt mystérieux, Maël Theirmall.
Un homme juste et téméraire, toujours accompagné d'un chat blanc nommé Scotch, qui parlait. Ses longs voyages le menèrent a rencontrer un autre personnage. Un assassin très réputé de ce royaume lointain. Il était appelé l'ombre rouge, mais son véritable nom était Slorak Hartsok. L'homme qui avait dressé un Loup Noir, la créature la moins docile du monde. Leur rencontre fut la clé de cette aventure. La voici...



Les annales d'Asgard Rencon10


Kryos flairait les proies et Slorak les abattait, avec un plaisir non dissimulé. Derrière un arbre, un homme était apeuré et tremblait de toute part, blanc comme un linge. Slorak l'avait repéré. Il était accroupi face a lui. Kryos bavait déjà d'envie de le dévorer. Il se tenait au coté de son maître, fixant l'elfe face à lui. Slorak lui murmura quelque chose a l'oreille et le loup disparu. L'instant suivant, l'elfe fut mordu a la jambe et Slorak sortant de l'ombre s'approcha de lui en ricanant.

"Mon pauvre ami ! je ne sais pas pourquoi les hommes qui me paye veulent ta mort, mas en tout cas, je vais me faire un plaisir de t'ôter la vie, comme je l'ai fait de nombreuse fois avec ceux de ta race !"

"Pitié..."

"Silence esclave !"

La seconde suivante, la lame de Slorak alla se planter dans le corps de pitoyable elfe face a lui. Slorak fut éclaboussé par le sang de l'être si faible. Il l'essuya avec le dos de sa main gauche. Kyros le regarda alors, en penchant la tête sur le côté, la langue pendante, haletant de faim.

Va-y !

Il eut a peine terminé sa phrase que la bête dévora le corps sans vie de l'elfe. Mais quelque chose le stoppa dans son élan. Kryos scruta la nuit. Slorak, s'accroupit aussitôt, serrant un peu plus fort la garde d'Ecarlate, son arme.

Que se passe-t-il mon beau ?

Kryos bondit alors vers les buissons, et se mit a détaler derrière quelque chose. Slorak le suivit, en courant a pleine vitesse. Il n'arrivait pas à contrôler, ni à rappeler la bête. Slorak hallucina lorsqu'il vit que Kryos courrait derrière un chat. Il le suivit sans comprendre ce qui se passait. Puis le chat arriva derrière un homme. Il était immobile et se tenait droit. Sans expression particulière, la pénombre de la nuit masquait les traits de son visage. Slorak vit le chat s'abriter derrière lui. Subitement Kryos s'arrêta et revint derrière son maître, qui, essoufflé, se pencha un instant en posant ses main sur ses genoux pour reprendre son souffle. Il se redressa et, l'épée à la main luisant sous la lueur de la lune, il lança:

Qui que vous soyez, dites moi votre nom et vos intentions...

L'assassin ne savait pas qui était cet homme, mais il savait que du sang allait peut être couler à nouveau...

Déjà deux semaines qu’ils étaient arrivés sur le continent… Deux longues semaines qui n’avaient pas été une partie de plaisir. Maël souffrait toujours de sa plaie sur son torse, là où la coque du bateau était rentrée après une puissante vague qui l’avait fait chavirer. La « fuite » des pays du Nord avait été difficile, mais finalement lui et Scotch s’en était sortis indemne, ou du moins presque.
Ils étaient arrivés en échouant sur une plage, dont ils ne connaissaient pas le nom. Après plusieurs heures de semi-inconscience ils s’étaient mis en route sans vraiment de but. Et pas question de s’arrêter dans une ville pour demander son chemin, Maël n’avait aucune idée d’où ils se trouvaient tous deux… ils pensaient s’être enfuis du Pays du Nord, mais étaient ils vraiment dans un nouveau territoire ?
La question revenait sans cesse… ils ne pouvaient prendre le risque de se faire repérer s’ils n’étaient pas loin de leur terre natale.
Comme tous les matins, Scotch devait partir devant afin de pouvoir revenir faire un rapport a son maître, pour qu’il sache s’il pouvait avancer sans se faire attraper par les forces des pays du nord. Mais ce matin les ordres avaient été différents.

« Oui tu as bien entendu Scotch »

Le soleil était bas dans le ciel, il venait juste de se lever. Le petit chat blanc qui quelques secondes plutôt était blottie dans la cape de Maël c’était relever d’un bon.

« Tu es sur de vouloir faire ça ? »

« Oui… mais ne t’en fais pas, tu ne crains rien, les gens ne peuvent rien voir en un chat non ? Si tu ne leurs parles pas ou quoi que ce soit d’autre qui montre que tu es en partie plus vivant qu’un chat normal, nous n’aurons pas de problèmes… je veux donc que tu entre cette fois ci dans le prochain village, et fais tout ce que tu peux pour savoir ou nous sommes… l’accent des gens, leurs langues… bref, un truc qui peut nous montrer que nous ne sommes plus chez nous. »

« Très bien… et si jamais nous sommes encore chez nous ? »

Maël s’arrêta dans les gestes qu’il était en train d’effectuer. D’un petit geste il remit sa manche comme il fallait car elle laissait dépasser son arme et il n’aimait pas qu’on la voit. Elle repris ses spasmes et gesticulations habituel

« Alors il faudra fuir… encore et toujours… »

Scotch n’eu pour réponse qu’un simple hochement de tête, puis il s’étira une dernière fois avant de s’élancer hors des sentiers battus dans la foret noir laissant Maël seul a sa méditation.
La journée avancer doucement, le temps était gris pour ce mois ou normalement les beaux jours auraient du être-la. Mais l’humeur n’était pas a la contemplation du temps. Plus Maël avançait, plus il s’enfonçait dans une étrange faune. Une faune dont il était sur qu’il n’y en avait pas dans son pays. Cette découverte lui remonta alors quelque peu le moral, depuis deux semaines d’errance il n’avait vu que des villes et des paysages ressemblant de trop près au pays enneigés d’où il venait. La foret était belle, verdoyante. Il pénétra alors entre un espacement de branche.
Il eut tout simplement le souffle coupé. Il se trouvait dans un espace découvert. A gauche s’élever un grand tertre, couvert d’un tapis de gazon aussi vers que le printemps des temps anciens. Dessus, comme une double couronne, poussaient deux cercles d’arbres. Ceux de l’extérieur avaient une écorce d’un blanc de neige, ils ne portaient pas de feuilles, mais ils étaient splendides dans leur harmonieuse nudité, les arbres de l’intérieur étaient des Mallornes de grande taille, encore revêtue d’or pale. Haut parmi les branches d’un arbre très élevé placé au centre de l’ensemble, brillait un flet blanc. Au pied des arbres et sur toutes les pentes vertes, l’herbe était parsemée de petites fleures d’or en forme d’étoiles. Parmi elles, dansant sur de minces tiges, se voyaient d’autres fleurs, blanche ou d’un vert très pale, elles miroitaient parmi le riche coloris de l’herbe. Au-dessus, le ciel était bleu mais commençait à s’assombrir, le soleil d’une fin d’après midi déclinait vers les montagnes afin d’aller se coucher. Il mit plusieurs minutes a s’enlevé de l’émerveillement de la contemplation de cette foret… il en avait maintenant la certitude, il n’était plus dans son pays, car aucune foret de cette grâce ne pouvait pousser dans les climats hivernaux.
C’est avec cette pensée réconfortante qu’il repris la route d’un pas léger sur les pentes revêtues d’herbes. Bien qu’il marchât et respirât et qu’autours de lui les feuilles vives et les fleurs fussent agitées par le même air frais qui éventait son visage, celui ci sentait qu’il se trouvait dans un pays situé hors du temps, qui ne défraîchissait pas, ne changeait pas, ne tomber pas dans l’oubli.

Les longues heures de contemplations avaient suffit pour que la nuit surprenne le jeune homme. Comme il posait enfin le pied sur une haute plate forme, il leva la tête et il vit encore a une certaine distance, une colline ou se dressaient de nombreux et magnifiques arbres qui entouraient une ancienne citée. Elle était située sur le plus haut sommet de la falaise et elle semblait inaccessible, Maël se surpris même a se demandé comment il pourrait rentrer à l’intérieur. Maintenant qu’il avait la certitude de ne plus être dans son pays, il pourrait s’en donner à cœur joie dans les rues de cette ville, et des autres du pays… Mordarë le chat noir était de retour.

Les fourrés c’étaient mis a remué en contre bas, Maël tendit l’oreille et scrutât les environs… ce n’était pas le vent qui pouvait faire ainsi bouger les feuilles… non… quelque chose venait par ici, ou plutôt deux… trois choses. D’un bond, Maël s’élança dans la pente d’où venaient les bruits, avec toute l’agilité que son corps pouvait lui offrir, il slaloma entre les arbres et s’arrêta dans une clairière. La nuit était maintenant bien tombée et réduisait sa visibilité, seul les étoiles éclairaient un peu les sentiers de terre qui se dessinaient entre les magnifiques arbres verts et les vieilles roches blanches. Le jeune homme se tapit derrière une pierre… les bruits se rapprochaient, il reconnue la personne de tête.
Des pas léger et rapide, qui parfois semblait décoller du sol pour s’envoler, c’était Scotch. L’ouïe surhumaine de Maël capta les halètements de la petite bête, elle était en pleine course et depuis longtemps a en juger par les battements de son cœur. Il fallait faire vite, réagir maintenant.

Maël se releva d’un coup. Il ne savait pas ce qui poursuivait Scotch, il n’en avait aucune idée, mais ils étaient deux sur ses traces, et pour le protéger, il fallait faire face et savoir si les intentions étaient hostiles.
La réponse ne tarda pas, Scotch arriva et se blotti rapidement derrière Maël, il sauta et s’agrippa de ses griffes sur son épaule. La manche droite de Maël s’agita soudainement… son arme allait peut être servir ce soir. De sa main gauche il prit sa flûte qui était accroché à sa ceinture et la tint à sa bouche… près a joué ses mélodies dont les personnes qui les avaient entendus n’étaient plus la pour en témoigner.

Ses yeux scrutaient les alentours, a la recherche de ce qui avait bien pus faire détaler Scotch aussi vite… les grognements se rapprochaient, mais ils se tenaient quand même assez loin pour ne pas être vue…
Les yeux de Maël s’habituèrent alors a l’obscurité régnante de la nuit. Il y avait bien deux choses entre l’ombre des arbres, tout d’abord un animal, bien plus gros qu’un chat ou qu’un chien… était ce un loup ? Et un homme a genoux, les mains posées sur la crinière de la bête. Il ne pouvait en savoir plus, les traits de son visage restaient invisibles.

« Qui que vous soyez, dites-moi votre nom et vos intentions... »

La voix avait sonné clair et puissante dans le silence cristallin de la nuit. Qui était cet homme ? En une seule phrase Maël avait pratiquement cerné le personnage… fier, sur de lui et sans peur. Il fallait beaucoup de cran pour osé parcourir seul les foret la nuit, personne n’était à l’abris de pilleur ou autre voleur et bandit de grand chemin. Même si la pensée que cette foret puisse être souillé par de telle personne dégoûta quelque peu le jeune assassin.
Scotch s’avança suffisamment pour chuchoter à l’oreille de Maël.

« Il me poursuit depuis plusieurs lieux, j’ai pus le voir à l’œuvre avant qu’ils me repèrent lui et son loup. Il vient de tuer un Elfe en contrebas, il a dit qu’un contrat était sur sa tête. . C’est un assassin tout comme nous… »

Maël hocha la tête. Alors cet homme était lui aussi comme lui, un assassin, prenant contrat sur contrat afin de pouvoir vivre dans ce monde… en tout cas les dires de Scotch venait de certifier ses pensées d’autre pays, ils n’étaient plus dans les pays du nord, car Maël était le meilleur assassin de son pays, et il connaissait à peu près tous ceux qui voulaient le détrôner de cette place, l’homme face à lui n’en était pas un, et il ne pouvait être un nouveau sur le circuit avec toute cette assurance.

« Tu ose me demander mon nom et mes intentions sans même te présenter ? hu hu hu… tu ne fais pas preuve de politesse, pourtant c’est un code d’honneur entre les gens de notre classe… assassin. »

Maël tenait toujours sa flûte près de sa bouche… près a tué l’homme en face de lui si la réponse ne lui convenait pas.



Slorak n'en croyait pas ses oreilles et encore moins ses yeux. Un assassin ? ici ? Comment était ce possible ? Il devait en savoir plus

<<Alors je ne suis plus l'un des derniers ici ? Je ne sais pas d'ou vous venez, ni même qui vous êtes, tout ce qui m'importe et que vous n'êtes pas une présence hostile, et que je vous doit le respect que l'on me doit.>>

Il ôta sa capuche et lui sourit, jouant carte sur table et franc jeu

<<JE dois admettre que les gens de notre rang et de notre gloire se font rare, car beaucoup on finit au bout d'une corde. Et oui ! ici tuer pour survivre n'est pas légal, mais tuer des peuples et des liberté, lorsque l'on est dans l'armée, ca l'est !>>

Il toussa portant sa main a sa bouche. La nuit froide, laissait le vent s'engouffrer sous la toge de Slorak, le glaçant littéralement. Seul ses pensées pour Elerinna le réchauffait.

<<Je me nomme Slorak, mais pour les gens d'ici, je suis l'ombre rouge. Un assassin qui n'a plus a faire ses preuves ici. Ma lame d'argent a déjà fait couler le sang de plus d'un misérables, et de plus d'un simple d'esprit royaliste.>>
Ses yeux émeraude brillaient avec force, en fixant l'homme mystérieux face a lui.

<< Et vous qui êtes vous ? >>
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MessageSujet: Re: Les annales d'Asgard   Les annales d'Asgard EmptyVen 12 Sep - 23:25

« Alors je ne suis plus l'un des derniers ici ? Je ne sais pas d'ou vous venez, ni même qui vous êtes, tout ce qui m'importe et que vous n'êtes pas une présence hostile, et que je vous doit le respect que l'on me doit. Je dois admettre que les gens de notre rang et de notre gloire se font rare, car beaucoup on finit au bout d'une corde. Et oui ! ici tuer pour survire n'est pas légal, mais tuer des peuples et des liberté, lorsque l'on est dans l'armée, ca l'est ! Je me nomme Slorak, mais pour les gens d'ici, je suis l'ombre rouge. Un assassin qui n'a plus a faire ses preuves ici. Ma lame d'argent a déjà fait couler le sang de plus d'un misérables, et de plus d'un simple d'esprit royaliste. Et vous qui êtes vous ? »


Les yeux de ce dénommé Slorak brillait de la même lueurs que Maël, ce qui le surpris au départ…
Scotch avait donc bien vue, cette homme était un assassin tout comme lui. Dans son pays, Maël avait appris a ne pas faire confiance aux gens de la même classe que lui. Nombreux était ceux qui avait voulu sa peau, les assassins du pays du Nord couraient tous après sa place mais encore jamais personne ne l'avait égaler dans son domaine. Quel genre de personne était il lui ? le simple assassin, celui dont on s’offrait les services contre une simple bouché de pain ? ou alors l’assassin qui n’acceptait les contrats que lorsque que le poids de la bourse était imposant ?
Maël n’avait aucun moyen de le savoir, mais au moins il avait jouer carte sur table avec lui… et cet homme était sa première rencontre du pays, et il avait fallu qu’il tombe sur un assassin. Était ce ça le destin ?

« Maël je pense que nous pouvons lui dire qui nous sommes non ? il ne semble pas en mesure de nous résister de toute façon si une rixe se produit… »

La petite voix de Scotch c’était terminer dans un miaulement sourd. Slorak le regarder abasourdis. Rien d’étonnant, un chat qui parle n’es pas courant dans ce pays non plus. Le jeune homme resserra sa cape, c’était toujours la même, celle qu’il avait dérober a son ami d’enfance avant de le tuer. Elle était maintenant usée et déchirée par endroit, mais les dernières semaines de voyage n’avait pas été de tout repos. Il se racla la gorge afin d’être sur que sa voix ne tremblerait pas de froid et qu’il ne se fasse pas mal comprendre.

« Je me nomme Mördare le chat noir, et voici Scotch » Il fit un geste du doigt pour montrer la boule de poil qui trôner sur son épaule. «D’ou nous venons ? c’est assez complexe comme question, surtout dans le cas ou nous ne savons pas ou nous sommes… c’est une histoire bien trop longue pour être conter ce soir, mais peut être que vous pourriez répondre a une de nos question… ou sommes nous justement ? En tout cas je vous rassures, la vision de l’assassinat est la même de pars chez moi… mais toujours est il que je ne sais pas si chez moi c'est chez vous aussi. »

« Vous avez dit que vous étiez un assassin qui n’avait plus a faire ses preuves ici, cela veut donc dire que l’Ombre rouge est connue parmi ces contrées ? Ce nom ne me dit rien… je crois donc mon cher Mordarë que nous sommes loin de chez nous, sinon crois moi que si cet homme dit juste est que son nom est redouté, on l’aurait toujours entendu derrière le tien… » Scotch sauta de l’épaule et bondit a petite foulées vers l’Ombre rouge. Une fois la, il se risqua, a la grande surprise de Maël, a se hisser le long de la longue cape afin de pouvoir l’avoir a côté de lui, il sorti soudainement sa griffe et la posa contre la jugulaire de l’ombre rouge. Le loup poussa un grognement et montra les dents, Scotch, peu dégonflé par cette tentative pour ne pas dire aucunement ne bougea pas d’un cil.

« J’aimerais t’avertir tout de même jeune homme… avant que ta main ne se pose sur cette magnifique lame autours de ta hanche, que l’homme a qui tu parle n’es autre que l’illustre Chat noir, tombeur de plus d’un Seigneur… son nom ne te diras sûrement rien, mais s’il c’est perdue dans un autre royaume ce n’es pas pour rien crois moi. Quand a moi je suis Scotch, chat parlant » Il rétracta sa griffe et fit une légère courbette a l’homme et au loup et dit « pour vous servir… »
Regardant Maël il rajouta « Je fais confiance a Slorak l’ombre rouge… quand est il de toi ? Mördare ? »


Slorak prit sa respiration. Cet homme était donc un étranger, perdu, au milieu d'un royaume ou il ne connaissait personne, ou les gens comme lui, était vendu aux royalistes pour toute la misère du monde. La conclusion de Slorak était simple. Cet homme était en danger, tout comme Slorak. Il s'apprêta a lui répondre lorsque son chat vint parler a Slorak. Kryos grogna et Slorak tendit sa main droite vers sa bouche. Kryos savait ce que cela voulait dire. Il stoppa son grognement et lécha la main de son maître.



<<Alors comme ca, ta lame est a la hauteur de ce que tu dégages. tu semble être un adversaire terrible, et a en juger la gravité de ton visage, tu dois faire partit de ses assassins, qui comme moi prennent plaisir a faire le travail, et ne font preuve d'aucune négligence. T'affronter ne serais qu'ineptie, et mourir maintenant me serai regrettable, car mes projet dans ce royaume sont bien plus ambitieux.>>

Il mit les bras en croix en pivota sur lui même pour bien montrer tout ce qui les entourait.

<< Te voici, dans le royaume de Zaïrys, mon cher Mördare, un endroit ou l'injustice d'un Roi oisif, conduit tout un peuple a la ruine. Nous somme près de la ville de Samata, le repère de tout les assassins, la où les royalistes tremblent, et ou l'anarchie domine sur la loi >>

Slorak observa le chat qui se rendit a nouveau près de son maître. Slorak fut alors frappé d'une idée. Il sourit il lança

<<Je dois admettre que t'affronter serais pure ineptie. Et la mort de l'un de nos deux, serais un sacrifice trop important, et une perte catastrophique pour l'ensemble de l'histoire des assassins. Mais si tu es l'égal de tes dires, mon ami, j'ai ici pour toi un projet de taille, qui nous porterais tout les deux au sommet de notre gloire, et de la sécurité des notre. Je me bat pour un peuple, et une minorité opprimé. Joins toi a moi, pour ce que tu veux, mais aide a renverser le Roi. Il est faible, et incapable. Nous serions tout deux en sécurité, une fois au pouvoir...Mon projet et fou mais pas impossible...accepte, et je te donnerais mes explications. Refuse, et continuons chacun notre chemin...>>

Slorak tendit sa main a l'homme. Il attendait qu'il conclut leur accord, par une
poigne de main historique !

Cet épisode fut alors la point culminant de la gloire du Crépuscule pourpre car tel était le nom de ce formidable groupe d'assassin. Puis se fut la guerre. Le chaos total. Le temps des petites escarmouches était révolu. Les batailles rangées opposèrent Le Roi, a cette brigade révolutionnaire, et un autre ennemis, en quête de vérité. Ils étaient nommés les héritiers. La première grande bataille du Crépuscule pourpre s'engagea alors. Une bataille tristement célèbre. a la suite de cette grande bataille qui fut un échec cuisant, Slorak se retrouva son fidèle ami Maël, qui n'avait pas chômé durant que celui ci faisait la guerre. Il avait trouver le secret pour accéder a une cité flottante et mythique. L'Asgard ! Au moment ou la guerre allait les écrasé le crépuscule pourpre s'enferma en Asgard durant des mois. Ils découvrirent alors que cette ville pouvait se déplacer. Il arrivèrent alors sur une terre inconnue, dont les habitants, les prirent pour des Dieux. tout les éminents membres de cette brigade devinrent alors de forte personnalité politique, et Mael Theirmal, lui, devint alors un Roi puissant, et immortel. Certain murmuraient qu'il était devenu un Dieu. Slorak, ainsi que Minalaas, une amie de Slorak, engagèrent des croisades, au nom du Royaume d'Asgard. Les terres s'agrandirent. Mais le destin ne jouait pas toujours en a faveur des mêmes. Slorak mourut en défendant les terres Royales, er Son épouse, Elerinna, qui l'avait suivit depuis ses débuts d'assassins, resta a vivre seul avec leurs enfants. Aujourd'hui seule quelqu'un des membres de la brigade vivent encore.

Après toutes ses années de guerre, le royaume d'Asgard, découvrit un minerai, très précieux, en abondance, dans son sol. L'adamantium. Le Roi, décréta alors l'exploitation intensive, qui créa le mécontentement général parmi les ouvriers, qui étaient exploités. Ce fut alors, qu'éclata les violentes manifestations, qui finirent dans le sang et menèrent aujourd'hui le royaume a la guerre civile...
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